[hrp: Bon, voilà, j'ais choisi de laisser tomber Barbe Blanche, car il ne me ressemble pas... Il ne me convient pas encore mion maintenant, car on le découvre un peu plus dans la série... ]
Prenom :
USSOP
Sexe :
Homme
Age :
17 ans au commencement de mon rp futur.
Profil : Ussop est un beau jeune homme plein de bon sens, il aide les gens, il parle facilement et est trés sociable. Il prends son temps le matin, il ne faut pas trop le bouger, mais il est trés dinamique en temps normale.
Il aime les bougie, va savoir pourquoi, et a toujours des idées brillantes pour ce sortir de toutes les situations inimaginables.
Taille/Poids :
Ussop aprés ses premiés entrainements déjas, pesait 60 Kg pour 1m83
Caractere : Son caractére et sensible, tête de mule, il fait comme celà l'arrange et ne prends pas souvent l'avis des autres en compte. Il partage plutôt bien ses opignons et n'adhére seulemnt qu'à ses propres idées. De plus, il ne se fait que rarement manipuler et on peu dire qu'il a du flair.
Son écureuil l'aide souvent à eclaircir quelques détails et surtout sur sa vie amoureuse.
Qualités/Defauts :
USSOP a un grand sens de la fiéretée, il serat toujours prêt à donner sa vie pour sauver ses amis et compagnons. Il est attendrissant, drôle, beau gosse, et charmeur.
USSOP est un poil trop sentimental, se qui lui vaut le mauvais reflexe de fonçer tête baissée, tout en ne prennant pas compte des circonstances.
Equipement :
Sabre Kensei, jumelle d'amateur, parapluis, gomme à macher, ustensils de cuisines, brosse à dent, et des cotons-tiges. Quelques kunais et dinamites ainsi qu'un pistolet qu'il porte avec fiéreté.
Alignement :
USSOP est un home au bon coeur, il sais être sensible quand il le faut, il serait donc classé comme un gentil jeune homme.
Race :
Humain et vagabond depuis toujours, et il voyage avec son jeune écureuil.
Rang :
Révolutionnaire suite à son désaccord avec le gouvernement.
Car Ussop changer les mentalitées et les comportements...
Histoire :
15 ans plutôt
Un homme entra dans une tente,il était mal vétu et l'air piteu. Sous son mantôt de fourrure, on pouvaient entendre un enfant pleurer. L'homme déposa l'enfant avant de poser prêt de lui une lame et de sécher quelques larmes.
Le lendemain même, au levé du jour, les quelques nomades qui logaient dans les tentes, furent stupéfaient par le miracle qui c'était produit pendant la nuit. Il nomérent le petit garçon "Sars", mais une foie la doyenne du groupe avec le nouveau né dans les bras, ils virent un deuxiéme et attendrissant enfant. Celui-ci fut appelé Ussop.
Pendant le temps qu'ils passérent avec les nomades, ils apprirent à devenir autonomes, agiles, fort et trouvérent chaqu'un une vocation. Ussop le Sabre japonais, et Sars le Karaté hindou.
Ussop était visiblement moin fort que son frére ainé mais plus rapide cependant. Bien que Sars lui, pouvait brisser la lame de son frére sans sabre pour cela.
Un jour en montagne
Ussop qui n'avait son égale pour l'escalade, entrainnait une foie de plus son frére pour monter au sommet du massif montagneu. Sars peinait à suivre son frére qui lui répétait pour l'encourager,
"Allez, je vois le sommet, il est là tout prêt !"
Soudain, sars n'entendit plus les paroles rassurantes de son frére cadet et commença à l'appeler, mais voyant que celui-ci ne répondait pas il se dépécha de sautit de prises en prises, au flanc de la coline. Il parvient alors au sommet, à la suite d'un gros effort, et fit glisser sa tête, pour voir son frére. Ce dernier était posté immobile devant lui, à scrupter le paysage, mais bizarement il ne faisait pas nuit noir au sommet de cette montagne, mais plutôt comme si le soleil tappait comne par une belle journée d'été. Les deux enfant s'approchérent des grands arbres qui faisaient un cercle davant eux. Ussop s'empréssa de remarquer une stéle, qui était disposé au centre, et en regardant attentivement, il vit qu'elle fut dréssée à l'éffigie d'un certain "Paul Ricard". Sars lui était plutôt en adminration devant la coline de piéces d'or qui se dréssaient derriére le monument du défain. Les premiéres qui étaient un peu rouillés, il les jeta prêt d'un arbre et il remplit ses poches avec les autres. Ussop ne prétat pas attention à son frére, et ouvrit lui le tombeau. C'est alors, qu'un escalier fit doucement son apparition sous ses pieds. Il entra alors, avec son frére à sa gauche. Ils arrivérent devant une porte, sur celle-ci était écrit: "Ne laissait pas l'insouciance envahir et troubler mon repos ou la vie de ces messieurs deviendras impossible." Cette mise en garde ne leurs parue pas si terrifiante et ils se permirent d'entré. La porte grinssante, laissa découvrir une piéce froide et humide, dans laquelle était disposé une cage de petite taille. Sur celle-ci était aposé un sceau, qui s'enflamma dès l'entrée des fréres. De cette petite cage, en sortie une petite et intriguante créature. Les deux fréres prirent peur et se réfugiérent à l'extérieur du tombeau. Alors que ceux-ci attendaient dehors, la créature sortie à une vitesse terrifiante de la grotte pour aller se cacher dans le pulovers de Ussop. Celui-ci ce débati en se secouant dans tous les sens. Puis par le col de son pull, la bestiolle laissa apparaître sa tête.
Ce fut ainsi que Ussop et Sars firent la connaissance de Paul Ricard, l'écureuil qui parle...
Quelques annés plus tard.
Alors que Ussop et Sars vivaient des journées plus fantastiques les uness ques les autres, avec leur nouveau compagnon, la marine vint les trouvaient par un beau jour comme bien souvent.
"Bonjour chéres nomades, nous voudrions savoir si vous ou les autres n'aurraient pas dans l'idée de nous jouer un sale tour ?!"
Ussop savait que comme à la grande habitude, ces rumheurs n'étaient jamais fondés.
"Nous sommes désolés, mais nous ne savons rien, sur quelques sujets que ce soit..." dit il.
Le marine lui portat un coups, au ventre. Sars, jusque là spectateur, courrut et sautat sur le l'officier le point en avant et terrissa littéralment son opposant.
Sars était content d'avoir put aider son frére et prit ce dernier sur son épaule.
"PANNNNN" Le bruit de la poudre fit sursauter les coeurs, et Sars tombat raide, aprés quelques instants, sur le sols sec de la zone.
Ussop, fout, se dirrigea en courrant et en pleurrant vers le marine, ayant poté le coup et lui tranperça le ventre de sa lame.
Les jours qui suivirent furent les plus douloureux pour Ussop et Paul. Et ils se jugérent de rendre un peu moin Bête le monde dans lequel il vivent...